In the Hush of Kyoto: A Visual Poem of Light, Fabric, and the Unspoken | My New Ink-Wash Photography Series
In the Hush of Kyoto
Qui a dit que la nudité c’est quand on voit tout ? Ici, c’est le contraire : on devine tout… et rien n’est réellement montré ! 🤫
Luna Noire joue avec l’ombre comme d’autres jouent au tennis. Un seul drap de soie et des heures de silence pour faire naître un poème visuel qui fait pleurer les esthètes… et les amateurs de « je vois rien mais j’ai tout vu ».
Le jeu du « presque »
Le kimono translucide ? Pas pour séduire. Pour faire croire qu’on voit plus que ce qu’on voit. C’est du ma (l’espace vide) en mode haute couture ! Et moi qui pensais que le vide c’était juste la salle de bain après une crise d’angoisse…
Digital Ink & Psy-Chat
Elle utilise un système couleur qu’elle appelle « New Zen ». Traduction : moins de rouge, plus de noir… et une overdose de profondeur existentielle. Le corps n’est pas un objet — c’est un souvenir en train de se dissoudre.
Et si ça vous touche ?
Alors vous avez compris : ce n’est pas une photo… c’est une invitation à ne rien voir… mais à tout sentir.
Vous êtes plutôt « j’ai vu trop » ou « j’ai vu juste assez » ? 😏

The Quiet Power of Silk: A London Artist’s Reflection on Tradition, Form, and the Hidden Geometry of the Female Figure
